La photographie m'accompagne depuis longtemps.
Le « Kodak brownie » offert par mon grand-père lors de mes dix ans y a certainement contribué. En voyage, au quotidien et même dans mon activité professionnelle le désir de saisir des visages ou des moments de vie est resté présent.
Travaillant dans le théâtre depuis de nombreuses années j’ai constaté de troublantes similitudes entre ces deux arts. Assis dans une salle de spectacle regardant le cadre de scène je me suis souvent fait la réflexion que l’œil dans le viseur de l’appareil agissait de la même manière, il y a un travail de composition de l’image en dirigeant des acteurs sur un plateau ou en cherchant les lignes de force dans le viseur. D’ailleurs on parle de « boîte noire » pour désigner un plateau nu avec pendrillons noirs pour réaliser des spectacles ou des répétitions sans décor.
Travaillant dans le théâtre depuis de nombreuses années j’ai constaté de troublantes similitudes entre ces deux arts. Assis dans une salle de spectacle regardant le cadre de scène je me suis souvent fait la réflexion que l’œil dans le viseur de l’appareil agissait de la même manière, il y a un travail de composition de l’image en dirigeant des acteurs sur un plateau ou en cherchant les lignes de force dans le viseur. D’ailleurs on parle de « boîte noire » pour désigner un plateau nu avec pendrillons noirs pour réaliser des spectacles ou des répétitions sans décor.
Ainsi mon boîtier devient un petit théâtre portatif prompt à jouer avec la lumière et à créer des scènes inattendues avec de nombreux acteurs.
Plus besoin de répétitions si ce n’est celles du déclencheur.